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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 10:44

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2 janvier 2013 3 02 /01 /janvier /2013 10:54

Suivez-moi sur Tumblr,

c'est une possibilité... 


mariedebray.tumblr.com

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Expérience, 

"Intéressant"

 


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24 décembre 2012 1 24 /12 /décembre /2012 14:17

Je fais un essai avec 

mariedebray.tumblr.com

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 13:36

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faire un essai...

D'autre... crouchmmougnou...

Pourquoi pas ? 

 

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18 décembre 2012 2 18 /12 /décembre /2012 10:17

Elles me voient : mon plexus se ramollit. 

Waouais, ça n'a rien à avoir avec moi, mais je me le prends dans la gueule.

La vie normale, quoi ! 

Ah ah ah... 

Zoup ! Zap ! 

Il y a le réveil et le "Mais de quoi on parle ?" HuRlé.

Il y a deux personnes qui regardent une chose en commun :

L'une dit : "Il n'y a rien dedans."

L'autre dit : "Oh, que c'est beau, il y a plein de trucs dedans."

Moi, je vois la vie ainsi : la première dit à la première  :"Oh raconte-moi ce que tu vois."

Ca s'appelle l'éveil, l'éducation, la transmission, l'apprentissage, le partage, l'amour, l'amitié, la découverte, la curiosité... Etc.

Et je vois encore trop souvent, cest ça : la première qui, soit, 

ignore la deuxième, 

méprise la deuxième, 

tente de faire penser la deuxième pour une folle, une conne, 

entreprend le doute sur la deuxième, 

explique à la deuxième qu'il y a rien... encore et encore.

C'est ça que je ne comprendrai jamais. 

C'est ainsi qu'on assiste à un gâchis de talents, des surdoués qui font descendre leur Q.I. en faisant des tâches qui les abrutissent...

Pour ne plus souffrir de la petite histoire que je viens de raconter. 

Le monde ne veut pas de mon talent.

Des génies qui se pendent.

Le règne des pétasses, 

je les appelle les "adjudants-chefs".

J'ai tellement du mal à comprendre qu'ils (ceux)là) adorent les hystéro manipulatrices... 

Je viens de lire un article éclairant sur le sujet. 

C'est totalemetn flippant... 

Mais oui, éclairant. 

Vu ce que je me suis tapée la semaine dernière. 

Et oui....... 

Mais tant pis ! 
Je préfère la joie et tout ce qu'il y a dans la besace.

C'est pourça que je pratique ce que nous avons appelé 

le regard de l'enfant. 

Ca apprend plein de choses.... 

Quand tu ne couines pas, ce que l'autre fait. 

Révélateur. 

j'ai fait des petits expériences, ça fonctionne très bien.

Cet article est parfait. 

Spécial dédécicae aux bénéfices secondaires de la tarétitude...

A qui le plus hétéro, manipulateur etc.

Insensée malade société.

Surtout ne pas jouir. 

Car joui, c'est le propre de l'incarnation 

et l'incarnation, c'est l'acceptation de la mort 

et l'acceptation de la mort, c'est le vivant.

Mais cette société est malade (et et tout le monde n'est pas malade ! Youpi !) elle est immature, hystérique : comment ne surtout pas jouir pour exister... 

Ne pas grandir, ne pas déployer ses ailes de mortel, 

comment ne pas écouter l'histoire de ce que l'autre voit... 

Julia cameron dit : "Sortir du bar."

Quitter les pilliers de bar... 

Entrer dans la tempête.

C'est ce que j'ai fait avec le booba story... 

Entre autres. 

Je savais que si j'étais heureuse, je n'aurai plus le faux amour de mes parents. 

Et moi j'ai voulu la vérité. 

Toujours. 

Qu'on me délivre des illusions pour vivre.

Ils te tuent pour ça. 

Pour jouir. 

Parce qu'ils sont le culte de la non-jouissance. 

Le culte de la frustration. 

Maintenant nous en rions. 

J'ai mis tant de temps à comprendre,

Alors je sais quelque chose. 

Dire 

Dire 

ses désirs. 

Ces choses sont interdites ; on te dit : "C'est mal;"

Ce sont eux, les malades, mon amie.

J'ai toujours dit mes désirs. 

j'étais saine. 

Ils ont tout fait pour me rendre malade. 

Ce fut la guerre chaque jour. 

Il me traitait d'hystérique, alors que l'hystérique, c'est le contraire. 

Mais c'est lui qui a eu les diplomes... 

Morte de rire, je suis. 

dire ses désirs. 

Deux mots transgressifs. 

Deux mots du vivant. 

Ceux-là te diront toujours que c'est mal... 

Mais continue à jouir ! 

C'est une arme délicieuse et ça fonctionne. 

Je me suis trompée... Et je sais où? 

Ces gens qui se délectaient de ma souffrance. 

Et quand j'allais mieux, ils me frappèrent à mort.

Pervers, hystéro and co. 

Pour les faire fuirr, je jouis. 

La vengeance de BB.


Je remercie Karim pour ce "work in progress", 

la lire "ma lettre", c'était bon...

Voir le lien de La Rose qui m'a contactée sur le commentaire de l'article d'avant... 

Ca parle de la même chose. 

V'là le combat... 

Dans ce monde dégoulinant d'indifférents...

Et oui ! 

Ne plus jamais avoir honte de ses émotions, 

de ne pas comprendre votre conception du mot adulte ! 

Ahahahhahahahahahahahahahahahahahaha ! 

Quel foutage de gueule. 


Fais chauffer le vaisseau spatial, on va assumer et s'amuser en les dégommant. 

Comment les romantiques ne seraient-ils cyniques ? 

Le vrai cynisme.

Je le deviens. 

"Princesse du ghetto".

Je pense à l'envers. 

Je demande : "Raconte ce qu'il y a dedans".

Dis ce que tu vois.

Je te donne le droit et l'espace de voir l'histoire.

J'ai écouté Booba tous les jours au-delà des apparences et j'ai entendu. 

Et un jour, une fille me dit : "Je vais faire comme toi."

Ou..... que cela fait du bien.

Ce ne sont pas mes amis qui le font, 

eux lisent d'autres écrivains que moi, 

d'autres blogs... 

Pourquoi se croient-ils mes amis ? 

Je dis : "Partage le trésor."

Dans ma besace, j'emporte tout ça car ainsi je suis plus riche. 

C'est mon côté métisse, 

puisque j'étais entre plusieurs mondes et qu'aucun ne m'a prise dans ses bras. 

Riche de Marcel Proust, Chopin, Miles, Coltrane, Booba... 

Je suis méga riche...

Je déchire les étiquettes alors cela fait un arc-en-ciel.

Car il n'y a aucune coupure. 

Il n'y a pas de séparation. 

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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 11:38

maintenant-0693.jpg

Ce n'est pas la solitude que j'ai rencontrée ;

une autre expérience 

et la conscience... 

Ami de reliance, merci  pour l'article à propos de la royale affaire.

Affair... Quel mot ! 

Oui, peut-être pourrions-nous le dire avec une certaine distance et douceur, j'avais bien senti la réaction patriarcale sur ce film... 

Même dans ma chair, 

alors que je dois défendre un film pas encore vu sur le fait que oui, 

il y a une reine, 

du sexe, 

de l'amour, 

de la politique. 

et que cela peut être bien. 

Ca va pas la tête ? 

Pfff, se détourner, avec le regard de l'enfant et ce léger dédain.

Ne plus jamais tenter de convaincre.

J'écrirai bien ce que je t'ai écrit hier soir ici.

En t'écrivant, je me sentais libre comme Spinoza le dit : libre parce que je savais la vérité. 

Elle permet de repartir avec l'énergie nécessaire.

Car pour avancer à contre-marée, il en faut de la force. 

Dans sa besace.

C'est Bouddha aussi, non ? 

La mort des illusions et le recul. 

La royale affaire est danoise, et nous en reparlerons. 

Ici, dans leur vision, une femme qui s'intéresse à l'oeuvre d'un homme, c'est qu'elle veut le sucer, c'est bien la même idée que le journaliste qui parle de la Royale Affaire (ignorant tout des règles de la dramaturgie, mais la propagande fait fi du savoir... la reine est le moteur dramatique de tout l'enjeu politique, mais quand on ne veut pas voir.)

Ils osent tout, quand nous n'avions pas confiance en nous. 

Alors ce sont ces gens qui pensent que c'est impossible d'être ailleurs que dans le schéma : elle veut sucer le maître. 

Que font ces êtres spéciaux errant dans une solitude intellectuelle, en disynchronie, mon livre sur les surdoués ; des femmes créatrices qui ont enterré leur talent, le monde n'en voulant pas. 

Je me fais lyncher pour les mêmes raisons. 

Une femme : pas le droit d'écrire à un homme. 

J'ai accepté la main, pensant que des femmes pouvaient être solidaires et je pense que ça existe, c'est autant trouver une aiguille dans une meute de foins. 

Mais aiguille y a.

Garder le cap, 

la reine qui exista, 

existe en d'autres endroits, nos temps immémoriaux. 

le vol de l'aigle. 

Lui dit : "Les aigles ne volent pas avec les pigeons".

Quel pigeon il est. 

"Le savoir est une arme, je suis calibrée."

Il est d'autres terres que la France, 

il est d'autres temps qu'aujourd'hui.

Les talents dans la sacoche, décalée... 

Il ne s'agit pas d'avoir une idée insolite, il dit dans le livre, il faut avoir l'énergie et l'audace de la porter dans le monde où on ne te comprendra pas. 

Pire quand tu es une femme. 

Ne donne pas prise aux crachats de la folie qui ne voient que les médiocrités de ss projections.

Je sais ce qu'est l'empathie. 

Je ne vois que la douleur de cette dinguerie.

Et m'étrangler de rire.

Je vois la reine interrompue par son mari furieux alors qu'elle joue du piano.

Etouffer les talents, l'intelligence, la délicatesse de cette femme qui se lève, ouvre le livre de Rousseau et lit dans la langue : "Tout individu nait libre en droit."

Je me souviens enfant ce que je faisais, où mes pensées allaient, comment j'étais avec les garçons.

Mes bras déployées dans la piscine, mon amour pour eux, leur amour pour moi.

Je ne savais pas qu'elle dégueulerait, ce que je connais bien dans le cadre de mon travail. Ca porte un nom, et nous savons. 

Ma collègue saura. 

Respirer ! 

Ce genre de l'humanité, des gens qui manipulent et possèdent les Autres comme des objets. 

Voir les démons en face. 

Sans bouger, respirer dans son hara. 

Bouddha a raison : plus je vois, plus je suis sur mon petit vaisseau spatiale lovée de moi. 

Le regard de l'enfant. 

Toujours sur mon petit vaisseau, je vivais avec Jésus, mes play-mobils, mes stylos... Puah ! 

Tout est inversé chez eux. 

Pas de prise, 

mes vibrations sont bien au-dessus. 

"Les aigles ne volent pas avec les pigeons"

Et comme disait mon oncle : "Pourquoi Marie a-t-elle moins ?"

Personne ne répondit. 

Ils dirent parfois : "Tu n'as qu'à te marier."

Pour avoir de l'argent. 

Ce n'est pas juste mon histoire, c'est une mentalité, inconsciente pour la majorité. 

Le gâchis des talents orchestré et organisé, la victoire de la petitesse, les camps de la mort... Une, deux, une, deux.

Je vois Amir disant : "Tu as écrit un livre pour le Ghetto."

Et me regardant droit dans les yeux : "Pff, évidemment que tu ne veux pas sucer Booba... Tout le monde sait qu'on n'a pas besoin d'écrire un livre pour sucer un mec. Les meufs qui sucent Booba n'écrivent pas de livre." 

Il a 24 ans, il a arrêté l'école à 13 ans, trafique dans le quartier. Vit en banlieue. 

Merci gars.

Sami avait dit :"Toi, tu veux expliquer ses métaphores, lui répondre des métaphores à ses métaphores. Ca se place au niveau de l'écriture." Sami a 23 ans, vient de passer un an en prison, est en semi-liberté. 

Hi hi ! 

Ca me fait sourire, parfois. 

S'ils savaient les petits gars... 

Mais je ne dirais pas. 

Le mal fond du manque d'attention. 

Je vais finir par croire comme eux que les meufeu aiment ça.

Etre manipulées, manipuler, tout ce fatras de spaghettis aux mauvaises ondes, putréfaction. 

J'ai un petit pincement au coeur en lisant le SMS. Hier soir. 

Je n'ai jamais pensé que tu pourrais être impressionné. Ou même agréablement surpris de me voir, là. 

"Que tu es belle."

Toi aussi tu es beau. 

Choup ! 

Le temps des inversions. 
Si on se racontait à soi une autre histoire.

J'imagine sa confiance à lui pour lui parler à elle. 

Je vois l'autre histoire. 

Et c'est beau. 

Je crois que je ne vais pas renoncer à mon intelligence qui n'est que le cumul de ce qu'on m'a donnée... Que les cons aillent se faire enculer et encore ce n'est pas le bon terme.

Elisabeth, ce n'est pas une histoire d'ego.

"Sucez, faites ce que vous voulez"

Viens, on va décoller, vlouf ! 

Voici un petit cadeau ; car là, il faut que j'y aille ! 

A mes huit ans. Je détestais la maîtresse et j'ai une poétique manière de le dire... Il y a dans ce mot un autre mot ! 

Tu m'étonnes que je comprends la poétique de B2o.

Aussi mon prénom dans un petit vaisseau spatial qui me protège comme une bulle de nuage.

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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 10:26

Je me suis réveillée la nuit, 

peut-être d'en avoir parlé alors que j'avais refoulé, 

l'émotion venue à la surface.

Puis les cauchemars. 

La lumière qui suivit.

Le retour de ce quelque chose :

"Oh, Marie, elle peut le faire seule."

Elle prend en charge...

Nous, on s'en branle.

Ouais, j'ai fait seule. 

Bien entraînée.

Ma copine me dit : "Tu es une warrior."

Je m'arrache : "Ah ouais, y a pas un truc d'injuste-là ?"

Si je suis la guerrière, je veux le butin. 

Le vent m'emporte, 

ma copine m'offre un si joli cadeau... 

Résonnances dans les rues de Paris. 

"Tu es belle quand tu parles de lui."

Vibrations,

nous sommes rouge et rose.

Ouais, c'est moi qui me réveille la nuit quand l'autre en a rien à foutre de son manquement à son devoir, à son absence d'empathie. 

C'est le principe de l'absence d'empathie ; elle n'est pas là ! 

Pendant ce temps-là, il s'occupent du petit qui geint. Attitude qui récolte des bénéfices secondaires en voici, en voilà. 

On s'occupe du "faible"... 

Pour ceux-là, je passe après, après le tyran, le chieur, le faible... 

Vous pouvez le mettre au féminin.

Alors, vous savez quoi ? Fuck !

Et c'est moi, le bad cop

Oui, je suis devant... 

Alors je le serai pour tout ! 

Mais qu'est-ce que j'ai foutu, bordel ? 

C'est dingue de chez dingue !!

Ouf, sauvée, je suis. 

Le butin dans nos cavernes. 

Les vétérans le savent, les autres s'en branlent de la guerre.

De ce que tu as vu et vécu quand tu reviens.

Sauf que nous sommes plusieurs.

En reliance.

Des résistants, oui, clignons des paupières. 

Mon médecin philosophe...

L'homme libre.

Alors autant amasser dans les palais et temples. 

Il a raison, Booba. En un sens. 

Et c'est super triste qu'il ait raison.

Mais on s'en fout ! On est vivants maintenant. 

Aimons-nous vivants, elle a dit.

Le voile se lève... 

Encore ? 

Encore ! 

"Tu es belle quand tu parles de lui."

Je rêve de lui alors que je me disais : "Tiens, je l'ai oublié, lui."

Je rêve que nous sommes dans le soleil, que je passe ma main dans ses cheveux, et qu'il sourit. 

Je ressens le plaisir que ça lui fait. 

C'est un de mes cadeaux d'anniversaire ? 


Je remercie la personne qui met tout de suite des mots dessus :

"Oh, Marie, elle peut le faire seule."

Alors on n'a pas d'égard, on s'en fout... 

C'est la limite franchie. 

Aller au front. 

encore et encore... Sans penser, sans réfléchir.

Ce n'est pas un travail d'équipe, c'est "chacun sa merde".

Ton choix !

A sec, la Warrior.

J'aime tant voir et comprendre. 

Et je n'ai pas eu le choix,

je n'ai pas pu adopter l'attitude de l'esquive... Qu'ils adorent.

Si j'avais choisi l'esquive, je serais morte. 

Il m'aurait tuée. 

"Chacun sa merde"

C'est la pratique de la non-empathie, et ces gens critiquent les cyniques. 

Et on siat où ça mène. 

Et je suis prête pour la guerre, j'y suis déjà. 

M'en fous. 

Eh dis-moi, les Warrior, ils ont des médailles parfois ? 

Non ? 

Alors pour mon anniversaire, on va aller se chercher des médailles, et s'amuser...

Mais là, franchement, je crois que je vais m'en gaver ! 

Le retour du désert. 

On va s'en mettre, je ne te raconte pas. 

Je passerai ma main dans ses cheveux, c'est un geste qu'il fait tout le temps, et là c'est moi qui le fais. 

Les pas de géantes !

Avatar ! La grande bleue. 

Merci mes compagnons pour entrer dans le feu. 

Merci toi pour avoir répondu si vite...

et cette phrase que j'ai trouvée si... woaouhouh ! 

L'air de rien. 

Le Danemark back in life

La douceur de ces temps avant que j'entre en enfer.

Le nord doux alors que nous étions si loin de nos pays. Dans une fournaise.

De quoi je reviens. 

De la sauvegerie... Je m'y étais habituée. 

Puisque j'ai les ressources de la guerrière. 

Pff... 

Le vent est doux. 

Il dit : "Là où il y a de la souffrance, il n'y a pas d'empathie."

Ah, c'était donc ça...

La misère psychologique, la misère sociale, la misère sexuelle, la misère affective... 

Adieu petits galets.

Ils aiment leur misère, ceux-là. 
Alors tout va bien, adieu culpabilité, adieu égalité.  

Je prends la phrase que je trouve si simple et contenante, avec juste le zeste de défi qu'il faut... Et... laissant la liberté... totale à celle que je suis. 

Celui qui te vis libre, 

ça change du viol !

Autres moeurs... 


Lui qui a créé sa boîte et l'a nommé Empathie...

Ah ah ah... 

Oui, il était dans cette énergie, il accueillait ma parole à propos de ma mud-princess...

Que c'est beau...

Chargée de mes butins. 

Vous avez tort, vous devriez apprendre à vous battre... 

La libération n'a pas de prix, 

c'est si bon la sensation... Et pourquoi le partager ? 

A ceux qui ne me donnent rien en échange ? 

Qui ne donnent rien du partage, qui cachent tout... 


Tout ce que je touche devient de l'or

et ma copine a eu la folie de la pondre !

Ma chatte, lettre à Booba en image...

Et on va se faire des T-shirts et on va aller en bas chez les sauvages... Pan ! 

Oui, je défends les cantates de Bach, les langueurs de Chopin, les cathédrales, la touche de Raphaël

car j'ai été comme le médecin philosophe ; je vous ai tout donné et vous m'avez lynchée... 

Comme le médecin philosophe, tête dans le panier ! 

Alors pour lui, et ceux-ci sur les barricades, je respire.

Il est ce combat à mener.

Il faut consolider les dernières avancées... 

C'est Waouh ! 

Finies les entraves... 

Et je tairai les éxpériences paroxytiques, les prises de conscience, les trésors... 

Elle m'a tellement aidée en disant que j'étais dure avec moi. 

Voyant mes souffrances physiques si fortes et ma façon de les cacher, l'indifférence de la majorité, et la petite phrase de l'acupuncteur. Moi je suis la Warrior, j'y vais au combat, même malade, même trashée... Ah ah ah ! 

Il y a ce regard que j'écris à la fée, 

la fée qui me lit avec une bienveillance que je ne connais nulle part, jamais elle rabaisse, jamais... 

Juste jamais. 

C'est comme si moi je ne méritais pas de vivre. 

A un endroit. 

Etre l'objet et jetée. 

Ils ont fait ça. 

Pourquoi nous qui avons tant de chance, en sommes-nous encore là ? 

Ca, cest le mystère que je leur laisse.

Comme Booba dit  :"Sucez, faites ce que vous voulez"

Ah, nous, on va s'en fourrer... 

Alors nous, on a été en charge de l'humanité dès le plus jeune âge !

Alors, tu sais quoi ?, on va se le payer maintenant en plein de bien... 

"Sucez, faites ce que vous voulez."

Danse sur le parapet, reines...

Je vais retourner regarder ce regard qui m'a dit quelque chose... 

En très profondeur. 

La rage fait des paillettes...

Oui, je passe ma main dans ses chveux, il vient dans mes rêves pour que je retrouve le chemin, 

vive la puissance, 

vive le feu, 

et ce regard-là, 

c'est mon combat de le garder 

toujours, 

même sur la croix...

car c'est une croix, toute cette connerie ambiante pour une surdouée...

Ah, viens, on y va ! 

Merci, mes soeurs et frères...

Je tiendrai ma parole, 

je suis une des très rares qui le fait...

Je ne comprends pas l'intérêt de ne pas tenir sa parole. 

De ne pas parler, de ne pas s'exprimer, de ne pas communiquer.

Mais, j'ai monté d'une marche. 

Il a écrit : Next step is..."

 

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2 décembre 2012 7 02 /12 /décembre /2012 11:42

Je vais y retourner

Comme dans la matrice

M'en faire des shoots

Comme dans l'aquarium

Quand je ferme les yeux, je vois son visage, des larmes coulent.

Je parle avec une personne, 

je ne comprends rien. Je fais comme si tout était normal.

Je hoche la tête, je souris, je fais bonne figure.

La personne me demande si je suis contente, je dis "oui".

Je hoche la tête.

Je pars en hélant les gars.

Ma copine me fait rire : "Tu es belle quand tu parles de lui."

Je ris. 

Oui, je sais. 

Je pressens, sens, sais. Des choses du futur.

Quand je marche, je ferme les yeux, je vois son visage, des larmes coulent.

En connexion. 

Chuuuuuu....

Mmmmmhhhh...

Mine.

Je suis si belle quand je parle de lui.

Un autre chante : "Tu m'aimes mais tu ne me touches pas."

Il chante ce qui s'est passé. Lui,

je l'aimais, je ne l'ai pas touché.


Je rêve un peu à nouveau. Un peu, puis j'ai peur de mes rêves. 

Ils sont si beaux. 

Je ferme les yeux, je vois son visage, je ne dis son nom à personne. Jamais. 

Lundi, j'ai pris le gros cadeau et j'ai surfé dessus comme sur une vague. 

Alors je fais comme certains : je suis connectée ailleurs... 

Mieux vaut boire la cigue. A certaines heures.

Basculer la tête en arrière.

Mon ami me soutient quand j'avoue, les mains pendantes le long de mon corps : "Non, je n'ai personne pour échanger sur ma note d'intention." 

Et là, j'ai la sensation de la crainte de l'effondrement. 

Sauf que ne pas m'effondrer, je me dis qu'il est là, à m'écouter.

Ne pas y penser.

Et là, je pourrais revenir dans mes pensées positives.

Je pense à mon ange-gardien qui leva le poing : "Vous allez y arriver"

Je respire... 

Au fond des bois. 

Dans une cabane.

La princesse du ghetto.

Cachée dans des arbres, désormais. 

Personne ne vient... tranquille au milieu des wesh, les aristo des wesh... Ce n'est pas la banlieue, c'est Paname. 

Qu'il est beau quand il surgit dans la rue. Celui-ci.

Il y a nos regards.

IZI soldat.

Ca ne ressemble à rien. 

Là où tu poses ta plume, ça ne ressemble à rien. 

Taper fort. 

Comme Marie dit. 

Je sais comme lui, il a eu peur. Pas le petit taulard. L'autre. 

Il sait ce que c'est d'être devant. Quand tu racles le parquet avec tes dents. 

Alors quand je suis au bout des ressources, je vais plonger... 

Je sais que c'est dommage car si j'écrivais comme je le devrais, je nourrirais le monde de ce que j'ai de meilleur. Cela serait beau. 

Et tu sais quoi ? Ca me prend vingt-quatre heures par jour. 

En vrai. 

C'est mon bain. 

Oui, l'humour, ça sauve les "comme nous."

Oui, oui, je vais y retourner plonger. 

Trouver la pépite dans ma poche, et le bleu du ciel. 

La vulgarité, pppffffff !

Eclats de sourire. 

Viens, on va danser avec la mort, c'est ma copine ! 

Je pense à Emily Dickinson qui passait ses journées dans sa chambre, ne faisant rien qu'écrire. 

Il y avait de la douceur hier. Entre nous. Mes potes de la première heure. 

Je veux y retourner plonger... 

Je pense à cet homme qui, la tête sur la guillotine, pleure. 

Qui dit au peuple qui le tue : "Je ne suis pas votre ennemi."

Je pense à cet homme mort il y a deux cent ans. 

Je sais que nous sommes reliés au-delà. 

Je sais son coeur qui bat. 

Je crois qu'ici-bas j'avais juste envie de m'amuser. 

J'ai eu de la chance de recevoir ce message cette nuit-là. 

Viendra le temps où je pourrai le déguster.

Tu dis que tu es content de me voir. 

Que puis-je te dire si je voulais être honnête ? 

Toi, tu l'es, heureux. Ca se voit et tu le dis.

Tu me demandes si je suis heureuse.

Je ne réponds pas.

Moi, je marche en fermant les yeux, je vois son visage, mes larmes coulent. Je ne dis son nom à personne. 

Personne ne sait quel est le visage que je vois. 

Je mets la chanson de Booba, la chanson chef d'oeuvre, je danse, c'est beau... le chef d'oeuvre. 

Nourris-moi visage... 

Tu me fais tenir.

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 11:01

C'était une histoire pour moi... 

C'est une histoire pour moi

quand je ferme les yeux en marchant dans la rue

je le vois 

je la vois

je les vois

je me sens basculer dans le flot du vivant 

je pleure, je souris, je joins les mains : merci 

Merci d'avoir eu à recevoir ça

Je vais y retourner en courant 

Plonger dans ce flot

Ca revient 

en cascade

C'est retrouver la maison... 

j'ai cherché ma maison tant de fois

je l'ai trouvée parfois

Après les longues traversées du désert, les pluies torrentielles, les maladies, les faiblesses dans les jambes

Je cours, cours, cours 

Ferme les yeux en marchant 

encore des sanglots ! 

C'est si bon d'avoir la capacité de ressentir si profondément cette émotion.

Je les rencontre comme je les retrouve

L'histoire, être reliée à l'histoire par l'histoire

Où me suis-je donc égarée ? 

Où étais-je partie ? 

J'étais là, avec ces avant-gardistes qui écrivent sous le manteau...

Savoir à l'avance... Voir ce que d'autres ne verront jamais

Avoir une autre vision

"tu ne me vois pas car je suis dans le futur"

Le siècle des Lumières.

Quelques éclairés au milieu, perdus, dans les foules hagardes.

Me suis-je égarée ? 

Etre dans la raffinement de ces certaines Lumières, voici 

Ce que j'ai fait en écrivant une lettre au rappeur le plus connu

Dans l'esprit des Lumières... 

Oui, je suis dans ce souffle-là dans un pays qui a oublié cet esprit... 

Pas oublié, mais trahi.

Je ne savais pas ça... Pas taotalement, pas comme ça

Que nous retournons à l'obscurantisme... 

Et pourtan j'ai lu, travaillé, vraiment

Et oui je l'écris depuis des années

la révolution 

Ici et ailleurs

Il y a toujours quelque chose qui glisse en moi

je dis, j'écris toujours la même chose

les Lettres, la femme de Lettres

Ah le Danemark, une parenthèse dans ma vie.

Le film danois qui parle de ce médecin qui dirigea ce pays... avec la femme qu'il aime qui est la reine du pays. 

Une femme, une reine, une femme de Lettres... 

Emprisonnée, cantonnée, violée.

Qui écrit des lettres, avec cette culture, le raffinement de l'Esprit.

Il publiait ses idées du futur, en anonyme. 

j'ai mis tant à comprendre qu'on est menacé quand on est en avance, qu'ils nous ont trahis, ceux d'après la révolution.

Je ne comprends pas

cette dialectique... Ce combat qu'il faut mener contre les masses sombres, les Eichman, les ressentiments des frustrés etc.

Je suis béate devant

sa naïveté, leur naïveté, ma naïveté

Leur beauté.

Et j'ai tant souri, 

j'ai tant aimé ça l'idée de faire la révolution en faisant l'amour... 

et bien sûr, le sacrifice, parfois.

Tu as beau descendre dans la nasse,

le philosophe de Platon, Socrate et la cigue, 

ma chatte à Barbès, les négros te coupent la tête.

Ceux-là, parfois.

Alors je ferme les yeux en marchant sous le métro, seule.

je relie encore l'homme des lumières qui devient autre quand la vie le prend dans sa tourmente.

je relie à ce Booba qui expose si bien la défaite des Lumières

qui explose si bien à la tête de ces petits bourgeois ce qu'ils ne veulent pas voir ! 

Voici ce que vous avez sacrifié pour garder votre périmètre.

Tout ça, c'est la même histoire 

et quand tu as été devant, tu es seul 

in a way

les petits arriérés du temps passé me couperont la tête, 

Booba aussi

les négros aussi. 

Pfffff ! 

Je comprends tant de choses quand ça bouscule autant dedans de moi.

J'aime ce personnage, j'aime cette reine... 

et c'est comme si je faisais du sruf d ema nourrir à cette vague

la vague si rare... 

Comme j'appuie sur les morceaux du gros booba 

Booba is back 

et il exprime si bien ce qu'est la dyssychronie du surdoué

Ils seraient si peu à comprendre ! par définition... 

Il a raison : il faut prendre l'autre vague 

Comme ça, il n'y a pas de confusion possible.

Tu as raison mon amie... sur le moteur de la Lamborghini.

Il manque une clé.

Non, il me manque une serrure... 

Vraiment ? 

J'apprends... 

Quitte rle pont-levis. 

Le livre : mener au bout

je suis comme exactement ce qu'il dit : cette phrase que j'écrivais tant ici sans écho

il la dit à sa façon.

je ne reviendrai pas. 

Comme la reine et son amour ne reviennent pas. 

Jamais. 

Ce regard qu'il a, 

cette intelligence, 

ces putain de couilles.

Un homme avec les couilles de l'intelligence.

C'est toujours moi qui ai eu les couilles. 

Enfant, adolescente, adulte. 

Pour les autres, pour moi. 

Personne ne m'a pris dans ses bras. 

Ou quelque fois, parfois. Tantôt.

Je suis revenue du combat. Si souvent seule.

Mais d'où on nous fait autant de mal ? 

Je ne peux pas dire ce que ça me fait 

j'aimerais écrire sur cet homme, 

sur sa reine.

Oui, j'ai écrit un livre pour le ghetto comme Amir dit.

Eh oui, la femme de lettres des Lumières et pourtant je n'aimais pas le 18ème à l'école...

J'ai dû mal comprendre car je ne comprenais rien... à l'école... 

Même si on a cette douleur-là

On a de l'or dans les mains.

j'ai envie de dire merci à mon amie qui m'écoute dans ces choses que je comprends si peu et que je tais ici...

je ne sais même plus comment dire

et oui, on est des certains 

quand même

ces amoureux dans dans Royal Affair

il habite le film

mon Dieu... 

et j'avais les larmes aux yeux quand un ami expliquait pourquoi il ne voulait pas le film, 

j'étais au bord de l'explosion

et oui il y a une femme dedans, 

une reine, 

une femme lettrée qui se fait hurler dessus par son mari parce qu'elle joue si bien de ce clavier, qu'elle est si lumineuse, qui la viole et ça fait rire des gens dans la salle ! 

Dans la salle du cinéma en 2012.

Je suis à deux doigst (c'est le cas de le dire) de sortir.

Je ne veux jamais aller au cinéma le week-end et ça doit être pour ça.

je suis au bord des lamres quand le pote avec qui je dois y aller me dit qu'il ne veut pas car c'est une truc Gala...

Je lui dis : "c'est un truc Gala parce qu'il y a une femme dedans ? 

Une reine ? 

une femme cultivée, intelligente, politiquement ?"

Et encore c'est bien édulcoré dans le film... Ils ont élagué pour que ça soit accessible au grand public...

j'étais au bord de l'explosion qu'il faille se défendre à ce poitn pour défendre la présence d'un personnage féminin qui n'est pas une éptasse, le fait qu'il y ait de l'amour... 

La défiance à l'amour... 

Mais c'est quoi leur problème ? 

C'est en se ralliant qu'on change le monde ! 

Vous ne voulez pas le changer ? 

Alors riez toute la journée ! 

Car le souffle de la vie est beau...

Que ça soit une homme et une femme, ça change quoi ? 

Oui, parce qu'il y a une histoire d'amour, enfin ça s'appelle comme ça parce qu'il est un homme et elle, une femme...

Si c'était deux pédés, ça ne ferait pas Gala ? 

ce sont deux âmes qui se rencontrent

mais comme c'est une femme, ça sonne ringard !

Mon Dieu que c'est violent... 

c'est elle qui a les idées, qui gère pour que les belles idées soient incarnées...

tu vois ça souvent au cinéma ? 

ils vont te dire que c'est un film de romance

De chais pas

il y a les vrais films et ceux pour gonzesses ? 

Parce qu'il y a un homme dedans. 

un homme avec une paire de couilles, de la contenance, de la finesse, de la survie, 

un mec libre, 

qui baise des putes avec le roi,

qui ne la regarde jamais la reine, 

c'est une pouf pour lui. 

Il la regarde quand elle ouvre le livre de Rousseau et qu'elle se mette à lire en français. 

C'est comme les gens qui me parlent de Booba et Spinoza sans connaître aucun des deux. 

j'ai travaillé des années sur les deux et ce sont eux qui me critiquent sur ce que j'ai à dire sur Booba et Spinoza !! 

Je ne comprends rien. 

"laisse-les jouer des maracas"

qu'il dit...

"ils ne me voient pas car je suis dans le futur"

J'ai envie d'appeler mon amie Isabelle qui a vu si vite dans mon livre ce qu'il était dans la continuité historique... 

Elle sait et je la vois.

Mon amie, je comprends des choses que tu disais... 

Parle-moi de demain, puisque j'y suis déjà. 

La joie dont Spinoza parlait

Lui, comme le docteur du film. 

Anonymes sinon tués sur place publique par peuple appeuré. 

Moi je suis descendue parmi eux. 

Waouh... 

"La princesse du ghetto" qu'il dit...

"Tu as écrit pour le ghetto parce que nous, on connait toutes les paroles de Booba"

Je le regarde, je sais. 

Femme des Lumières... 

Ouais, l'élite ne voit pas que b deux o c'est le début du mot booba

et ils ont fait des années 'études et ils sont intelligents

oui il y a des murs en béton armé entre les castes

et il y a des portes

surtout si on est dans le ciel on est au-dessus du mur

sans voile, sans tout ce bordel de merde, on flotte libres dans l'espace

ils ont le pied dans le passé ! 

quand Johan et sa reine sont dans le futur... 

Etre dans le futur, c'est être dans l'esprit des Lumières. 

Si je meurs demain, tu prendras mes manuscrits et tu les transmettras

parce que je ne parle que de ça...

Je me souviens de ma fée qui dit : "Mais tu as lu ce que tu as écrit ?"

La force de ça... 

La force de ça. 

Non, je ne sais pas.

Il y a toujours ce décalage... 

C'était de belles récoltes tous ces jours.

Laisse-moi craquer

Il y a des jours je trouve ça injuste.

Je vais aller m'enfermer, pleurer...

Paumes ouvertes, je marche dans la rue, les yeux fermés

et tu as raison quand tu dis : 

"tu es si belle quand tu parles de lui"

j'adore, j'adore, j'adore. 

Je le reçois au-dedans de moi. 

Laisse-moi craquer, 

tu sais ce que je veux dire. 

En boucle, 

en danse, 

je les mange ! 

Trésors... 

Laissez-moi y aller, 

ne plus jamais freiner

Lamborghini en chaque cellule ! 

pas à pas, 

talons dans le sol. 

Il n'est plus possible de douter. 

Une seconde...

Je me pardonne pour là où j'ai déconné.

Et oui il y a un chef d'oeuvre...

C'est un chef d'oeuvre. 

Va, 

viens. 

Clic, clac. 

Viens ! 

Je ne leur pardonnerai pas car ils savent ce qu'ils font. 

C'est le postulat de base. 

Je ne m'appelle pas Chloé. 

 

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20 novembre 2012 2 20 /11 /novembre /2012 10:49

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Merci, paumes ouvertes vers le ciel...

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