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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 11:48

aller

jusqu'au 

BOO

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 17:46

"Si nous étions forcés à choisir entre les barbares de la civilisation et les civilisés de la barbarie, nous choisirions les barbares" ??  Ah ah... Niaf niaf...

Ca fait du bien de se sentir moins seule... 

Surtout aujourd'hui ! 


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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 12:02

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Il m'a demandé : "On vous a crucifié ?" J'ai répondu : "Oui, mais vous voyez, je suis descendue de la croix..."

 

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Chandeleur : la lumière, la purification, le réveil de l'ours qui finit son hibernation... Chandelours... 

 

comment-faire---0008.jpg Le 7 à l'envers sous l'oeil... En hommage à Bram's, son meilleur ami qui s'est suicidé l'an passé. J'avais entendu dire qu'il en avait rien à foutre... Pourtant se faire tatouer sur le visage est un acte très, très lourd... Quand on sait sa signification. Plus, la larme chez les taulards. Lire ce que Lévinas écrivit sur le visage. Et il s'agit de comprendre le vrai message : il dit qu'il faut vaincre autrui (morale du darwinisme, la lutte du plus fort... notre modernité), mais derrière, à l'envers du décor, en acte, il signifie : c'est grâce à la solidarité, la coopération, l'entraide qu'il a réussi, qu'il réussit. Car dire est une chose, se faire tatouer sur son corps et encore plus sur le visage (mécanisme de l'incarnation chez Booba) est autre chose qui a une signification qui me parle vraiment ces jours-ci. Alors, l'amour serait donc plus important que la haine ? Bah, bien sûr, la preuve ! Je me tue à vous le dire. Même chez lui ? Bien sûr ! Tu crois quoi ? "La vraie morale se moque de la morale" et la vraie morale, tu sais ce que c'est. Plus, l'importance des chiffres que j'analyse chez lui depuis des mois... Et là, c'est encore un chiffre qui sort. 

Un chiffre à l'envers... La marge, la transgression, l'inversion des valeurs........ Comme chez Nietzsche. Chez lui, faut inverser et tu sais la vérité, c'est ce que je fais depuis des mois. Tu vois Nico, j'avais compris... Tant et tant et tant. Il y a bien sûr son homophilie... 

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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 09:42

"Oui messieurs j'ai la haine"

"J'attaque au bélier, je n'attends pas le pont-levis."

J'ai mis du temps à comprendre. Ce temps si long. Je remercie Sébastien pour m'avoir mise là. Et d'autres comme Laura : "Tu es un garçon manqué." 

Bien sûr que je suis un garçon, mon amie. 

On m'a dit d'attendre, que je n'étais pas patiente... Je sais à quel endroit c'est vrai. Mais ce n'est pas tout de la patience... Il y avait autre chose ! Et ce autre chose, mon Dieu, je sais désormais. Nietzsche sourirait. On a fait de l'impuissance la valeur première ! On nous a dit : "Mange la terre, attends ce qui ne viendra pas, ne jouis pas, arrange-toi." On nous a dit de ne pas être vivants. 

Or je veux m'incarner, baiser, vivre, respirer, m'envoler... Etre là. Dense.

Booba, Nietzsche, Spinoza : même combat. Rester avec sa clique. Mes petits Asperger ! Notre souffrance.... Bien sûr qu'il y en a, ils en deviennent violents !!! 

Je me souviens d'un ange-gardien qui m'avait dit : "Vous êtes saine dans un monde malsain." 

Marraine, qui aident les surdoués ? On aide les débiles, les tarés, les psychotiques, les drogués... Et pour eux ? Que dalle ? Ils se tirent une balle comme Sweig qui savait et n'a pas pu supporter... Ils meurent d'une tuberculose à quarante-quatre ans comme Spinoza, deviennent déments comme Nietzsche... La liste est longue. 

La discussion avec ma marraine... Bien sûr. "Je viens du futur", tout ce que j'ai compris avant ! Et qu'on me disait que je délirais. Mais je savais... Je savais. Je vois avant, mais je n'écoute pas encore assez ce que je vois. Avant-gardiste, soldat de première ligne. 

Tu m'étonnes que je me crispais.... Et encore, je suis d'une patience si rare. Je suis précieuse pour ma capacité à aimer et à comprendre. 

L'autre jour, je suis dans un kiosque et j'achète le journal sur Booba. Je leur montre la photo de la couverture où il est avec ses tatouages. Ils disent :"Oh là, c'est trop là et puis c'est la mode !" Je dis : "Ah bon ? Moi, je suis tatouée depuis 15 ans." Ils répondent : "Ah bah, vous êtes avant-gardiste"

Oui... C'est pour ça je me sens décalée, ailleurs, seule. 

Il faut que je me dépêche... pour mon livre. 

Quelqu'un comme moi a parfois besoin de soutien. Alors j'en ai demandé. Je pense que c'était légitime. Vraiment. Je le méritais vu que ce que je viens de traverser... Cette aide a été refusée. Avant, je prenais ça pour une punition et je disais : "C'est injuste." Comment comprendre ? 

Mais, "le savoir est une arme." 

Mais, la solitude est un point de vue. Les larmes aussi. 

Je ne me suis pas plainte. Moi, j'ai soutenu et aidé les autres quand ils en avaient besoin et qu'ils le demandaient. Ca me semble la vie normale. La plainte est une perte de temps. 

J'ai arrêté la plainte et je sais que ce n'est pas de ma faute. C'est plus dur pour moi comme Booba dit. Ouais, y'a des gens, c'est plus dur. L'intelligence fait souffrir, la vision fait souffrir. C'est ainsi. 

"J'attaque au bélier, je n'attends pas le pont-levis."

C'est trop fort... Ainsi je me soigne d'une pathologie que j'ai identifiée ces derniers mois : quel choc. C'est trop bon. C'est apprendre à s'aimer. En profondeur. Alors que je sors d'une vieille habitude : la maltraitance. J'y suis habituée. "Ce serait comment autrement ?" Ca fait tout bizarre de comprendre qu'on encaisse parce qu'on a été entraînée comme un animal de cirque. Changer le programme. Ce serait comment d'être aimée ? Certains m'accompagnent. Gratitude.  

Si d'autres aiment la souffrance de la non-vie, je ne la veux plus. 

Je préfère le courage du désir et d'aimer.

Quitter le bar comme nous disons... Quelle aventure ! De savoir qu'on peut être comblés, en joie, en puissance : incarnés. Prendre e risque de faire l'amour, d'être en plaisir... 

"Par réalité et perfection, j'entends la même chose." Spinoza

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2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 13:02

J'ai capitulé. 

Et je ne voudrais pas me vendre aux pensées négatives. 

J'ai eu ce courage-là. 

Il a un nouveau tatouage. Sur le visage. Comme une larme. 

Ce que j'ai appris hier comme un trésor. 

Ce que j'ai appris hier comme ce que je ne voulais pas savoir et que je sais. Je sais ce que je ne sais pas.

Je sais ce que je sais. 

La tombée des masques. 

Les louves dehors par moins 4. 

Les chiens claquent des dents, l'ours se réveille aujourd'hui. 

Purification, détacher les entraves. 

Ejectée du harem, parce qu'elle a parlé. 

Responsable de son affranchissement. 

Je ne connais pas d'autres horizons. 

Mon amour, en silence. A chaque instant. "Glock dans la bouche"

Il m'a appris chaque jour. 

Regarde la photo, je pense à la phrase de Stéphane : "Je n'ai que mes mains, mais si je les referme, elles deviennent des poingts serrés." Je pense à ses conseils... 

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Nous sommes deux à rêver au monde des bisounours. 


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1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 12:14

Daniel Darc, merci mes amis, c'est cette sensation du souvenir : 

Chercher le garçon de Taxi Girl

 

Voici les paroles de celle-ci :


Parfois je ne sens rien

Je perds l’équilibre et c’est tout

Parfois le matin je me réveille

A genoux

Tout bascule en arrière

Quelques larmes de verre

Se brisent de dégoût

Me paralyse

Un peu c’est tout

Parfois je sens bien au fond de mon corps

Des va-et-vient

J’ai mal mais c’est bien trop de bruit pour

Presque rien

Lentement je joins les deux mains

Espérant à peu près tout

Pourtant rien ne vient

Un peu de vide et puis c’est tout

Un peu c’est tout


Les garçons verts

Les gestes bleus

Je chuchote quelques mots

« Pardonnez nos enfances

Comme nous pardonnons

A ceux qui nous ont enfantés 

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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 09:57

Nous qui croyons aux signes, 

dans le chaos, K.O. d'hier : 

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19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 10:06

Je ne peux pas raconter les connexions qui apparurent hier. 

Ca me fait tout bizarre, surtout vu ce que je traversais. 

Comme si le flot me reprenait, m'envoyait des signes. 

Je tremble... J'avais donc raison. C'est encore plus troublant de se dire que c'est aussi simple. 

Comment alors puis-je ressentir autant de tristesse à certaines heures ? 

Qu'est-ce qui bloque encore ? Pourquoi ai-je si mal ! 

Ce matin, une petite récolte pour saupoudrer le tout des connexions que je ne révèlerai pas, car je ne sais pas comment poser des mots sur ça. J'avais dit : "Il viendra à moi" et il était là ! Pour de vrai. Au bout de ma rue. Le temps n'existe pas. Ce que j'ai dit hier dans ce café s'est en fait passé dans une autre vie. C'est pour ça que ce n'est pas un désir, mais une conviction. Parce que je l'ai déjà vécu ! C'est juste des retrouvailles. Et c'était drôle comme elle m'écoutait quand je disais que je savais le futur vu que je l'avais déjà vécu dans le passé. C'est sûr que je suis un peu fatiguée ! Tu imagines comme ça fait bizarre de tout vivre autrement. J'étais un peu subjuguée, si j'avais cru mon intuition avant... Mon Dieu. 

Qu'est-ce qui bloque ? 

Dans l'élan ! 

La vie est tellement plus immense que nos peurs. C'est immense. Bien sûr que les gens à qui nous pensons sont là. En connexion. Qui m'a dit que cette star était inatteignable ? Je ris... Qui s'est moqué de moi ? Quand j'ai dit sans réfléchir : "Sa Ferrari en bas de chez moi" Je danse sur le parapet. 

Je veux me nettoyer de tous ces schémas qu'on a mis en moi alors que ce n'est pas moi et que je ne les crois plus. 

Je change de croyance... J'ai toujours été dans l'autre croyance, mais je me suis rangée dans le placard.

Parfois je murmure : "Aide-moi." Parce que je suis si seule, à un endroit. C'est hallucinant. 

Sommes-nous tous seuls à cet endroit ? 

Je dis : "Aide-moi, je suis précieuse, je sais quelque chose que je dois restituer. Je suis dépositaire d'un trésor." Oui, je sais que j'aurais eu besoin de quelques douceurs parce que je suis dans une étrange expérience : je vois. J'en avais vraiment besoin. Tu parles comme ils s'en branlent !!!! Ca dégage de la culpabilité. Le jour où je tomberai sous le train, je rejoindrai cette certitude qu'ils s'en foutent tellement ! Ca purifie d'arriver à cette conscience. Ca donne une immense liberté, même si ça me rend si triste. Chais pas pourquoi moi, mais c'est le chemin. En tout cas, personne ne pleurera devant le four. On avance avec des certitudes. 

Tu te souviens l'odeur d'un homme dont je parlais ? 

J'en suis persuadée. Le parfum d'une autre vie inscrutée dans mes cellules. Je le reconnais de très loin. Et je fais ce voyage vers ce temps-là, ne sachant pas s'il est passé ou à venir. 

Je prie : "Aide-moi, je suis si fatiguée. De je ne sais pas quoi... De mes blocages. De mes prises de conscience. De mon Dieu: c'est possible... C'est."

Alors, après ce détour, voici la récolte de ce matin (un exemple parmi d'autres) :

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teaser "ma chatte, lettre à BooBa"

c'est lui qui a copié !!!  

Plotin avait donc raison... 

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 14:26

Aujourd'hui ma façon de sortir de la forêt serait d'entrer en amour... en écriture ...

Le reste... 

 


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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 11:57
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